Il n’y a pas ”d’exercice” qui guérit les traumatismes.

“Sans changer le système somatique – la plate-forme neurochimique sous-jacente – tout changement de comportement est simplement annulé par la force de la volonté.” Kathy Kain, créatrice de la pratique somatique.

« Voici la traduction d’un article original en anglais de Seth Lyon spécialiste du trauma basé à Vancouver au Canada, que j’ai souhaité partager à la communauté francophone, car il partage ma philosophie, vision, méthodes, approche du traumatisme et de son traitement, et répond à des interrogations et reflex que nous pourrions avoir à choisir un traitement que l’on qualifiera de rapide et “magique” qui est à notre époque une quête de plus en plus répandue dans nos sociétés moderne, et qui transparait dans tous les pans de nos vies et à fortiori dans l’acte de guérison.»

 Raffi Cherbedjian 

Cet article a commencé comme une réponse à la question de quelqu’un dans le groupe Facebook Healthy Nervous System Revolution. que la femme de Seth, Irene Lyon, a commencée, Ils voulaient savoir si nous recommandions la TRE (Tension Releasing Exercises) Exercices de Libération des Tensions, pour guérir les traumatismes.

Il s’est rendu compte, que la réponse dépassait le cadre des raisons pour laquelle nous ne recommandons pas la méthode TRE – il s’agit de la nature des traumatismes les plus courants que nous voyons dans le monde industrialisé, et pourquoi le traitement n’est pas une simple question de “relâcher le stress”. Cette réponse se concentre sur la TRE – ce pourquoi elle pourrait être adaptée, tout ce pourquoi elle n’est PAS adaptée, et pourquoi d’autres approches sont généralement préférables pour le genre de traumatismes que la plupart d’entre nous dans le monde industrialisé ont, mais les mêmes lacunes peuvent, je pense, être appliquées à tout ce qui est considéré comme une “technique” ou un “exercice”.

Les techniques et les exercices ne guérissent pas les traumatismes. La relation guérit les traumatismes. Cette relation peut bien être thérapeutique, et le praticien peut avoir à sa disposition toutes sortes de techniques, d’exercices et d’interventions diverses qui seront utiles lorsqu’elles seront appliquées judicieusement et en harmonie avec ce qui se déroule chez le client, mais ce ne sont pas les techniques, ni les exercices eux-mêmes qui guériront quoi que ce soit – c’est le contenant sécuritaire de la relation qui permet le déploiement organique du système unique du client qui guérit. Cela dit, certains exercices sont meilleurs que d’autres.

Voici ma réponse à la question: “La TRE est-elle adaptée pour la guérison des traumatismes” …

* * *

La réponse à cette question dépend entièrement de la nature de votre traumatisme et de l’état de votre système nerveux. Je pense que le meilleur endroit pour commencer est avec les mots du créateur de la méthode TRE, David Berceli, sur la façon dont il a développé cette approche….

“Je vivais dans plusieurs pays d’Afrique et du Moyen-Orient qui connaissaient la guerre et la violence politique. J’ai remarqué une tendance parmi nous tous, que lorsque nous devenions anxieux, effrayés ou traumatisés, notre corps commençait à trembler de peur. Cette secousse avait un schéma prévisible. Elle avait un début, au début de la violence; au milieu pendant la violence; et une fin, le tremblement s’arrêtait quand la violence cessait et que la sécurité était rétablie. J’ai reconnu que le tremblement n’était pas une pathologie de la réaction de peur, comme le suggère la médecine traditionnelle, mais plutôt un mécanisme sain du système nerveux qui essayait d’aider le corps à réduire sa peur, sa tension et son anxiété. J’ai mis au point une méthode pour évoquer artificiellement cette réaction de tremblement dans un environnement sûr et contrôlé. Cela permet à l’individu de compléter la réponse de tremblement longtemps après que l’agent stressant soit passé et de réduire la charge de l’excitation du système nerveux toujours existante.”

 

À première vue, cela semble tout à fait valable et correct, et c’est le cas. Si nous parlons simplement de permettre à une charge du SN Sympathique de (Combat/Fuite) de se dissiper.

Ce dont il parle, c’est d’un simple choc traumatique – il y a des coups de feu et des explosions, un accident de voiture, une agression de nos sens vécue de manière soudaine, importante et submergeante, et qu’il n’y a pas assez de temps, de soutien ou de sécurité pour permettre à nos systèmes de survie de Combat/Fuite de s’achever. La TRE pourrait très bien être utile pour libérer cette charge Sympathique.

Le problème, c’est que le simple fait de décharger une réaction sympathique, ne permet même pas d’approcher ce qui est nécessaire au traitement du type de trauma qui est beaucoup plus commun dans les pays industrialisés. Dans le “premier monde”, un simple cas de choc traumatique est le type de traumatisme le moins fréquent. J’ai eu des centaines de clients qui ont franchi ma porte jusqu’a présent et j’ai eu exactement, UN seul cas de simple choc traumatique.

Aussi difficile à croire que cela paraisse, dans les ” deuxième ” et ” troisième ” pays du monde, il est beaucoup plus courant d’avoir de bons, attachement et des liens précoce solide, d’avoir à la base de la régulation, mais d’être ensuite exposé à un choc traumatique. Bien sûr, il y a de nombreuses formes d’adversité dans le monde entier, où que vous alliez, y compris de trouver des parents abusifs et désaccordés, mais en termes de grandes tendances sociales et sur le plan de la conscience culturelle, nous voyons généralement dans les cultures plus “primitives” que l’accordage et le soin entre les parents et les enfants est beaucoup plus tôt plus raffinée et solide que dans les pays industrialisés. Il n’y a pas le même genre d’agenda surchargé et le besoin de travailler constamment, les donneurs de soin sont plus souvent avec leurs enfants parce que les garderies sont beaucoup moins fréquentes, et les liens et l’harmonie au sein de la famille sont, en général, plus valorisés que le fait de gagner de l’argent et d’acquérir des biens.

*Note – J’utilise des citations autour de “premier”,”deuxième”,”troisième”, et “primitif” parce que franchement, je réprouve totalement l’utilisation de ces termes. Le soi-disant “tiers” monde est un de loin beaucoup plus avancé que le “premier” dans de nombreux aspects qui constituent un être humain. Je préfère passer une semaine avec les Aborigènes d’Australie ou d’une tribu sud-américaine plutôt qu’avec la plupart des Américains, et je considère ces peuples “primitifs” beaucoup plus avancés que la culture consumériste de la société occidentale en termes de conscience. Mais je dois utiliser ces mots pour que les gens sachent de quoi je parle, mais avec réticence.

Malheureusement, bien qu’il y ait plus de guerres et de violences dans les pays moins industrialisés – plus de choses susceptibles de produire de simples chocs traumatiques. C’est le type d’environnement dans lequel la TRE a été développé – dans lequel il est plus probable que les systèmes de l’individu ont été confrontés à de simples chocs traumatique sur des liens précoce solides.

Ce qui est beaucoup plus courant dans les pays et cultures industrialisés, c’est le traumatisme complexe qui a ses racines dans les traumas précoces/développementaux et le stress chronique, ainsi que dans les traumatismes chirurgicaux, et qu’il peut y avoir ou non divers chocs traumatique en plus de tout cela. Et avec ce type de traumatisme complexe, qui se traduit à plusieurs niveaux, par la dépression, l’anxiété, de faible limites, le manque d’organisation, des phobies, des maladies auto-immunes tels que la maladie de Crohn, la fibromyalgie, la fatigue chronique, les affections cutanées, les cancers ou TOUT ce qui précède – la décharge d’une réponse Sympathique bloquée est littéralement la DERNIÈRE chose que nous voulons voir se produire.

Ce qui doit arriver en premier, c’est la relation. Le fondement même de tout bon travail en traumatologie (surtout lorsqu’il s’agit de traumatismes précoces/développementaux) est d’établir une relation solide au fil du temps où le client peut ressentir un sentiment réel de sécurité, habituellement pour la première fois. C’est ce que la Somatic Experiencing (SE) fait de mieux, et c’est ce à quoi le travail de Kathy Kain, Somatic Practice, excelle. Ces modalités, en particulier la Somatic Practice, on comme fondement de soutenir tout ce qui doit se produire, avant TOUTE sorte de grand travail d’activation/désactivation (le type de décharge du système sympathique que soutiens la TRE).

*Remarque – pour être tout à fait juste – de nombreux praticiens de SE comprennent mal la SE. Ils pensent que c’est aussi une technique destinée à faire ce truc d'”activation/désactivation”. La Somatic Experiencing, lorsqu’elle est correctement comprise et mise en pratique n’est PAS une technique du tout, c’est une manière d’être; une façon de vivre, d’accorder et d’être en relation avec le client qui soutient sa physiologie, son psychisme et son âme en se développant organiquement de la façon qui convient le mieux à son système unique, qui peut inclure toutes sortes de nuances et d’expériences.

Les choses qui doivent se produire avant que nous commencions à faire bouger l’énergie par quelque moyen d’activation/désactivation que ce soit : nous devons d’abord soutenir directement la physiologie pour obtenir une régulation de base – les Reins/Le Système Surrénal doit sentir ce que cela fait de s’apaiser et se relâcher (ou si son niveau de stimulation est bas nous devons renforcer le soutien et la sécurité au point où elle peut être à nouveau accessible). Le tronc cérébral a besoin d’apprendre ce que ça fait de sortir de l’hypervigilance. Les viscères ont besoin de ressentir ce que c’est que d’avoir leurs tripes entendues, honorées et validées. Le fascia doit avoir la possibilité qu’il puisse sortir de sa rigidité et de sa fixation. La neurochimie doit commencer à faire l’expérience de ce que c’est que de NE PAS être ainsi gouvernée par la chimie du stress.

Avant tout, la personne dans son intégralité doit faire l’expérience – mentalement, émotionnellement, physiquement – de ce que c’est que d’être contenue dans un espace sûr, écoutée, en syntonie avec, et soutenue de manière appropriée.

Avec les traumatismes complexe comme ceux que nous connaissons dans la société industrialisée, tout cela doit d’abord se produire, généralement pendant de nombreux mois, voire des années, avant que le système ne soit authentiquement prêt à organiser une réponse d’activation/désactivation (aussi petite soit elle).

Si une personne ayant ce genre de traumatisme complexe se rend à une séance de TRE, particulièrement les séances de groupe ou les exercices autogérés à la maison qui sont devenus très populaires, ce qui se produira est généralement l’une des trois choses suivantes:

  • Rien du tout. Ils vont suivre les mouvements, mais ils ne sentiront rien et il ne se passera pas grand-chose.
  • Ils devront surmonter leur peur et leur terreur pour pouvoir participer et feront les gestes nécessaires et pourront même avoir une réaction de tremblement, mais rien ne sera accompli parce que les stratégies subconscientes et inconscientes de gestion somatique, affective et mentale ont été en fait renforcées par cette expérience. Quelqu’un qui a vécu dans ce que nous appelons le ” figement fonctionnel ” – ce qui signifie que tout ce processus d’adaptation et de gestion se déroule dans son système mais qu’il n’en est pas encore conscient et qu’il ne se le représente pas physiquement (comme un canard – qui semble glisser en douceur à la surface de l’eau, alors que ses petites jambes sont en fait en train de taper furieusement sous la surface) pourrait avoir une sensation de relaxation, sans savoir que ses stratégies pour surmonter le stress ont renforcé leur capacité à y arriver. *Cela fait ressortir une distinction très importante – Il y a une grande différence entre Soulagement du Stress/Amélioration du bien-être, et la guérison des traumatismes et la régulation du système nerveux, d’autre part.
  • Ou en trois, ils ne seront pas en mesure de le dépasser et leur système “explosera” dans une détresse émotionnelle/physique/mentale extrême. Ils “paniqueront” d’une manière ou d’une autre, ce qui, malheureusement, peut même être considéré par certains praticiens comme une sorte de catharsis bénéfique.

Dans un cas comme dans l’autre, le résultat final le plus probable est le renforcement des schémas de traumatismes existants et/ou des stratégies d’adaptation, sans qu’il y ait de véritable guérison ou de régulation, même si cela peut y ressembler dans certains cas.

Un dernier point – J’ai dit qu’avec le genre de traumatisme qui est le plus courant dans le premier monde, les traumatismes complexes précoce/développementaux/ chirurgicaux/de choc traumatique, une grosse décharge sympathique est la dernière chose à faire et je le disais en fait littéralement. Autrement dit, nous voulons que cela se produise un jour ou l’autre, une fois que toutes les fondations auront été construites pour que la personne puisse avoir l’énergie et la sécurité dans son système pour vraiment faire ce genre de travail sans se laisser envahir.

Et voilà le point important, c’est que lorsque le système est réellement prêt à effectuer cette activation/désactivation et que le soutien approprié est disponible, tout se fait tout seul. Il n’est absolument pas nécessaire de forcer sur le système avec des poses pour provoquer une réponse. Cela se produit naturellement et organiquement conduit selon la sagesse instinctive du corps. C’est une idée difficile à vendre pour la plupart des Occidentaux qui sont devenus si conditionnés à penser que tout doit avoir une sorte de “solution rapide” – il doit y avoir un “outil qui fasse le travail”, un moyen “de pirater le système” ou “prendre un raccourci”. Désolée, non. Lorsqu’il s’agit de guérir véritablement un traumatisme et de rétablir la régulation du système nerveux autonome, il n’existe aucun raccourci, outil, technique ou exercice qui puisse fonctionner.

Beaucoup d’entre vous savent peut-être que des cours qui appliquent les principes et les modalités de la Somatic Experiencing, Somatic Practice, et Feldenkrais existent. Ces cours utilisent de nombreux exercices et contiennent des outils et des techniques, et pourtant ils ont été très efficaces pour aider les gens de pays différents à guérir les traumatismes et à restaurer la régulation et je peux les recommander sans hésiter. Pourquoi ? Tout d’abord, parce que, bien qu’on les appelle “exercices neurosensoriels”, ce ne sont pas des exercices au sens traditionnel du terme, mais plutôt des leçons uniques qui appliquent l’objectif que Moshe Feldenkrais a développé dans ses leçons Awareness Through Movement, qui ne consistait pas à “réparer” mais plutôt à apprendre ce que nous faisons déjà afin que nous puissions le changer consciemment et biologiquement.

Se focaliser ensuite sur les systèmes somatiques cruciaux dans une sorte de questionnement doux qui favorise un éveil progressif de la connaissance de soi et une capacité accrue. L’effet de tous ces exercices neurosensoriels et la façon dont ils sont superposés et structurés, combinés à l’éducation sur la physiologie du système nerveux, au soutien du groupe de pairs et aux conseils, permettent au participant d’établir et de renforcer cette relation thérapeutique avec eux-mêmes. De plus, nous encourageons toujours de tout cœur les participants à chercher du soutien individuel auprès d’un bon praticien au besoin.

Donc, pour résumer. La TRE est très utile pour provoquer une réponse sympathique. Si la seule chose traumatisante que vous avez vécue est un simple choc traumatique (il y a eu un accident de voiture, ou vous étiez dans une zone de guerre, etc.) et que votre système de lien précoce était bon et solide car vos parents ne subissaient aucun stress, mais pouvaient réellement vous rencontrer dans un cadre bien ajusté et avec attention, alors la TRE vous conviendra peut être pour libérer un autre simple choc traumatique. De plus, dans certains cas de traumatismes complexes, il pourrait être utilisé comme une intervention utile dans le cadre d’un processus plus large SI le praticien est bien accordé, et aussi fermement ancré dans les connaissances nuancées de la physiologie du trauma qu’on apprend en Somatic Practice et les niveaux post avancés de la Somatic Experiencecing (…) J’ai aussi entendu dire que l’on met de plus en plus l’accent sur le renforcement de la régulation et des capacités dans les formations en TRE, et sur une sensibilisation accrue à la nécessité d’éviter les grandes catharsis, chose que j’apprécie, quoique je me questionne toujours sur l’efficacité dans le travail avec le système musculaire plutôt que directement avec le système nerveux car encore, lorsque les bonnes conditions et le soutien sont réunis, il se produira que la réponse des tremblements se manifestera entièrement de manière naturelle et organique.

Si vous êtes comme la grande majorité de la population du monde industrialisé et que vos liens précoces n’étaient PAS solides ; si votre traumatisme était relationnel, précoce/développemental, chirurgical, etc… plus un traumatisme par-dessus toutes ces choses – et cela donne un tableau précis de 99 % de ma clientèle alors la TRE ne nous est, en général, pas recommandé en particulier si cela ne se déroule dans un cadre thérapeutique bien établi ou dans un cours collectif, si vous le faites en exercice à domicile ou si cela est un travail que vous-même avez fait à domicile. Lorsqu’il est fait de cette façon, il peut favoriser un sentiment temporaire de réduction du stress ou d’autonomisation, ce qui peut être acceptable pour certains dans le cadre d’un processus plus vaste, mais il est également possible qu’il renforce les stratégies d’adaptation subconscientes ou inconscientes qui, en fin de compte, empêchent la véritable guérison et régulation du traumatisme, et si votre système est gravement compromis, cela pourrait entraîner une forte explosion avec des effets délétères à long terme.

* * *

Alors voilà,

Je considère comme approche l’éducation du système nerveux d’abord, la Somatic Practice ensuite, la Somatic Experiencing troisième, la Feldenkrais en quatrième pour constituer le quadrant d’or quand il s’agit de guérison du trauma et de rétablir la régulation.

Ensuite j’ajouterais l’approche du NARM du Dr Laurence Heller, pour laquelle je suis formé et qui constitue une approche très respectueuse des traumatismes développementaux.

Donc, si vous voulez trouver une personne avec qui travailler en tête-à-tête, je vous recommanderais quelqu’un qui a une formation en Somatic Practice, Somatic Experiencing, en NARM, en Feldenkrais, ou une combinaison de tout cela.

Mais avant tout, ce doit être quelqu’un en qui vous avez confiance et avec qui vous vous sentez en sécurité. Votre instinct saura généralement dans les premières secondes, et certainement dans la première séance, si le praticien vous correspond bien. Posez-vous simplement la question.

Vous sentez-vous en sécurité (assez) avec cette personne (il est très courant, lorsqu’on commence un traitement de traumatologie, de ne jamais se sentir entièrement en sécurité, jamais) ? Il faut donc parfois commencer avec suffisamment de sécurité).

Ont-ils montré qu’ils sont compétents ? Ce qui veut dire – Ont-ils décrit une sorte de plan de traitement, expliqué son but et vous a-t-il aidé à mieux vous comprendre ?

Si oui, alors super.

Si, d’autre part, ils vous disent que vous irez “mieux” dans n’importe quel laps de temps, ou s’ils vous assènent des exercices ou des techniques sans expliquer ce qu’ils font, s’ils essaient de vous “faire” faire quelque chose, ou si ils semblent trop cliniques, trop froid, impersonnel, dites au revoir et poursuivez votre recherche.

J’espère que cet article vous a aidé à faire un choix éclairé en ce qui concerne les options de traitement et vous a peut-être même permis de mieux vous comprendre et de comprendre pourquoi certaines choses ont pu ou non fonctionner pour vous dans le passé. À votre santé !

 

Article qui comporte un extrait de l’original : http://sethlyon.com/no-exercise-heals-trauma/

 

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1 Commentaire
  • Flore Viard
    Posté 4 mai 2023

    Merci pour cet article très complet, qui m’a été transmis par une cliente qui se questionnait sur le TRE.

    Cela m’apporte également un éclairage sur des méthodes de décharge émotionnelle (colère…) que j’ai pu expérimenter dans ma première formation, avec lesquelles je me sentais en désaccord.

    Et sur le fait de vouloir appliquer des méthodes expérimentées dans les zones de guerre à des occidentaux (c’est également le cas de l’EFT, à ma connaissance). Intéressant, cette notion que les non-occidentaux ont une base de sécurité plus présente que la plupart des occidentaux.

    Je découvre également les liens entre Feldenkrais et SE, que je ne connaissais pas.
    Merci !

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